top of page

L'ACTUALITÉ DEPUIS 1929

Agbégnénou : la colère froide envers la Fédération de judo

Malgré son accord pour porter à nouveau le judogi officiel de l'équipe de France, Clarisse Agbégnénou reste très critique envers la Fédération.



Clarisse Agbégnénou, championne olympique et quintuple championne du monde des moins de soixante-trois kilos, a finalement accepté de porter à nouveau le judogi officiel de la Fédération française de judo après deux mois de tension. Elle a confirmé cette décision sur ses réseaux sociaux ce mardi, mais a toutefois ajouté des propositions d'acides à l'égard de la fédération dans une interview relayée par L'Équipe. Les stigmates laissés par cette séquence très difficile à vivre pour l'athlète se font sentir, et elle déclare : « C'est tout ce qui s'est passé qui me vexe et qui me blesse. [...] Je n'ai même plus envie de parler avec eux, je n'ai plus rien à leur dire ». Bien qu'elle bénéficie de nombreux avantages offerts par la FFJ, tels qu'un entraîneur national, des stages et des déplacements financés, Clarisse Agbégnénou semble toujours très affectée par cette situation. Elle préfère maintenant se concentrer sur son entraînement et son objectif de devenir championne olympique en 2024.


La tension entre Clarisse Agbégnénou et la Fédération française de judo a pris fin après deux mois de polémique, puisque la championne olympique a accepté de porter à nouveau le judogi officiel. L'athlète elle-même a confirmé mardi cette décision sur ses plateformes de médias sociaux. Cependant, la situation semble lui avoir laissé un goût amer dans la bouche, puisqu'elle a ajouté quelques commentaires acerbes envers la Fédération dans une entrevue avec L'Équipe. Clarisse Agbégnénou a clairement été touchée par l'expérience en déclarant : « C'est tout ce qui s'est passé qui me bouleverse et me blesse. [...] Je n'ai même plus envie de leur parler, je n'ai plus rien à leur dire. Malgré les nombreux avantages offerts par la FFJ, dont un entraîneur national, des camps d'entraînement financés et des frais de déplacement, l'athlète semble toujours aux prises avec les conséquences de la situation. Elle préfère désormais se concentrer sur son entraînement et son objectif de devenir championne olympique en 2024.

bottom of page