La perspective de la victoire de Donald Trump lors de l'élection présidentielle américaine de novembre 2024 est un espoir partagé par Vladimir Poutine et Benyamin Nétanyahou. Mardi soir, à la clôture des votes, ces deux dirigeants espèrent voir le succès de leur favori, Donald Trump, se concrétiser. Une conviction qu'ils n'hésitent pas à afficher.
Cette éventualité d'une administration Trump 2, si elle se concrétise, est un élément majeur à prendre en compte pour appréhender l'actualité internationale. Les crises actuelles et leur intensité semblent dépendre de ce possible futur, laissant entrevoir un changement radical dans la politique étrangère américaine. Un retour de l'ancien président républicain à la Maison Blanche pourrait impacter directement deux conflits majeurs en cours : le conflit entre la Russie et l'Ukraine, ainsi que les tensions persistantes entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas.
Conséquences géopolitiques anticipées
Vladimir Poutine, en Donald Trump, voit un allié qui partage une vision de leadership autoritaire, ce qui pourrait influencer les relations entre les États-Unis et la Russie. De même, Benyamin Nétanyahou, soutenu par une majorité de droite-ultradroite, se remémore le précédent mandat de Trump, marqué par une politique nettement hostile envers les Palestiniens.
La personnalité et les orientations politiques de Trump ont été marquées par des positions favorables à certains dirigeants et une approche critique envers d'autres. Ces leaders étrangers voient en Trump un soutien potentiel à leurs intérêts géopolitiques respectifs.
Attentes et préoccupations face à un futur incertain
Cependant, cette attente d'un retour de Donald Trump suscite également des inquiétudes. Les possibles conséquences d'une telle présidence sur les conflits internationaux en cours pourraient être considérables, modifiant l'équilibre géopolitique dans plusieurs régions du monde.
La manière dont les relations entre les États-Unis, la Russie, Israël et d'autres acteurs internationaux évolueront dépendra en grande partie de l'issue de l'élection présidentielle et des politiques mises en place par la future administration.