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L'ACTUALITÉ DE LA GRANDE ÎLE DEPUIS 1929

Demande de rencontre au sommet : enseignement supérieur en crise

Le SECES maintient sa détermination pour des solutions concrètes dans l'enseignement supérieur.

Au cœur d'une impasse persistante, l'enseignement supérieur est secoué par les revendications inflexibles du Syndicat des Enseignants-Chercheurs et Chercheurs-Enseignants (SECES). Leur mouvement de protestation, marqué par l'initiative de l' "université morte", demeure inébranlable, refusant de céder aux solutions partielles. L'espoir suscité par une récente rencontre avec le ministre s'est évanoui, qualifié par le syndicat de "non-événement". Les efforts déployés jusqu'à présent par le ministère de tutelle se sont avérés vains aux yeux du SECES, qui s'est résolu à solliciter une audience avec les plus hautes instances du pays - le Chef d'État ou le Premier Ministre.


Les enjeux critiques de ce bras de fer seront au centre d'une réunion programmée pour cette semaine, dont l'issue pourrait fortement influencer le futur de l'enseignement supérieur. Parmi les points cruciaux figure le règlement des heures complémentaires et des vacations accumulées durant les années universitaires 2018-2019, 2019-2020 et 2021-2022. Le SECES brandit la menace d'une escalade de leur mouvement si des réponses substantielles et des résultats concrets ne sont pas obtenus pour satisfaire leurs doléances. Les autorités sont ainsi confrontées à une situation critique, où la poursuite de l'impasse risquerait de paralyser davantage le secteur de l'enseignement supérieur et compromettre l'avenir académique des étudiants.

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