Denturiste, un métier émergent
La révolution dentaire est en marche : découvrez comment les Denturistes changent la donne dès maintenant !

UNE AVANCÉE SOCIALE MAJEURE
108 000 personnes de plus en Ehpad d’ici 2030 et c’est certainement l’arbre qui cache la forêt !
Dans une étude menée en France, il apparait que 28,1 % des sujets de plus de 65 ans portaient une prothèse complète uni maxillaire supérieure et que le taux d’édentement total bimaxillaire était de 16,3 %. Ce taux était nettement plus important chez les sujets à faible niveau socio-économique et vivant en milieu rural.
Coûts et perte de temps pour les soignants surchargés sont les conséquences indirectes d’un appareillage défectueux.
Une prothèse dentaire mal adaptée génère, des problèmes de santé pour le patient et du stress partagé. Réglages, prise de rendez-vous multiples, mises en place compliquée, inadaptation ou reprise de prothèses défaillantes, tout ceci fait partie du surcoût, social et humain. Cela occasionne la plupart du temps de nombreux rendez-vous supplémentaires non facturés par les chirurgiens-dentistes.
Un denturiste en soutien hebdomadaire, c’est un fauteuil occupé pour les travaux prothétiques basiques et surtout du temps libéré pour les soins et l’implantologie !
Le Denturiste parfaitement autonome prend en charge individuellement de 10 à 15 patients par semaine, ce qui libère autant de place dans le cabinet dentaire où 10 patients pouvant être soignés en plus par semaine n’est pas négligeable.
Thierry Supplie, directeur de France Denturiste répond :
Il existe actuellement une formation dans le domaine contrairement à ce qu’a indiqué l’ONCD.
Aujourd’hui en France, le coût de la prothèse amovible, non pas du produit en lui-même, mais son coût global peut être réduit, ainsi que son impact écologique !
Le Prothésiste fabrique les prothèses sans voir le patient ; le Denturiste, lui, a le patient en direct : cela lui permet d’évaluer les besoins, la faisabilité et d’essayer de répondre aux doléances esthétiques. Tout en relocalisant ce savoir-faire pour éviter la surconsommation des prothèses d’importations étrangères.
Autre économie est possible, a prise en charge au sein même des Ehpad, maisons de retraite, ou au domicile. Sans actes médical et après validation de la fin de soins par leur praticien.
Mais le Chirurgien-Dentiste est, et sera toujours, le seul à contrôler la santé dentaire !
Vous l’avez souligné.
Depuis trop longtemps des professionnels de la prothèse dentaire suivent une formation annexe, afin de s’installer en toute illégalité pour réaliser en direct des prothèses amovibles. Cette formation complémentaire ne donne aucune compétence ni connaissance médicale liée au dentaire, mais protège cette activité, profitant d’un vide juridique permettant d’exercer l’activité de denturologue sans en avoir l’autorisation.
L’arrivée, des Denturistes, valide officiellement une spécificité professionnelle qui permettra de cesser la pratique illégale.
L’ONCD indique que la profession est inconnue en France ?
L’ONCD indique que la profession est inconnue en France, mais ce n’est pas nouveau : l’Ordre a dû oublier qu’ils ont fait condamner un prothésiste, à juste titre, à de la prison ferme, par le tribunal correctionnel de Gap et à une interdiction à vie d’exercer dans ce domaine professionnel.
Il est donc temps de fédérer nos attentes afin de concrétiser ensemble, un projet d’utilité publique. Les Denturistes apportent une solution immédiate.