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L'ACTUALITÉ DE LA GRANDE ÎLE DEPUIS 1929

Incidents xénophobes au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté



Lors d'une séance plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, des élus du Rassemblement national ont brandi des affiches portant le message "Violeurs étrangers dehors", en soutien à des militantes d'un collectif "féministe identitaire" de Besançon. Cette action a suscité une forte réaction de la présidente du Conseil régional, Marie-Guite Dufay, qui a annoncé son intention de porter plainte pour incitation à la haine.


Contexte de l'incident : une séance interrompue par les affiches xénophobes

La séance du Conseil régional a été brièvement interrompue lorsque les conseillers RN ont brandi les affiches controversées, suscitant l'indignation et la condamnation de plusieurs membres de l'assemblée. La présidente du Conseil régional a dénoncé ces actes comme des "amalgames nauséabonds" et a exprimé sa ferme intention de prendre des mesures légales.


Réaction de la présidente du Conseil régional : plainte pour incitation à la haine

Marie-Guite Dufay a déclaré son intention de porter plainte pour incitation à la haine contre les élus du RN ayant brandi les affiches xénophobes. Elle a souligné que de tels actes sont inacceptables dans une enceinte républicaine et qu'ils alimentent des préjugés dangereux. Cette réaction montre la détermination des autorités régionales à lutter contre les discours de haine et la xénophobie.


Contexte plus large : affichage similaire lors du carnaval de Besançon

L'incident au Conseil régional fait écho à un événement similaire survenu lors du carnaval de Besançon, où deux militantes d'un collectif ont affiché le même message. Cela a conduit à un dépôt de plainte de la part de la maire de la ville, soulignant la sensibilité de la question de la xénophobie et des discours de haine dans la région.


Lutte contre la xénophobie et l'incitation à la haine

Cet incident met en lumière la nécessité de lutter contre la xénophobie et l'incitation à la haine, en particulier au sein des institutions politiques. La réaction ferme de la présidente du Conseil régional montre que de telles actions ne seront pas tolérées et que des mesures seront prises pour promouvoir le respect et la tolérance dans la société.


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