Dans un geste symbolique fort, Tony Estanguet, président du Comité d'Organisation des Jeux Olympiques (Cojo) de Paris, a reçu la flamme olympique à Athènes, marquant un jalon important dans la préparation des Jeux de Paris 2024.
Un pont entre passé et présent
La cérémonie de remise de la flamme s'est déroulée dans l'enceinte historique du Stade panathénaïque, lieu de naissance des premiers Jeux olympiques modernes en 1896. Ce stade emblématique, capable d'accueillir jusqu'à 80 000 spectateurs, symbolise le lien ininterrompu entre les Jeux antiques et les Jeux modernes, un thème cher aux organisateurs des Jeux de Paris.
Tony Estanguet et la flamme Olympique
Tony Estanguet, figure centrale de l'organisation des prochains Jeux, a souligné l'importance de ce lieu chargé d'histoire. En recevant la flamme, il a évoqué le rôle du Stade panathénaïque comme pilier de l'olympisme et sa représentation sur toutes les médailles remises aux vainqueurs olympiques, affirmant ainsi la continuité et le renouveau des Jeux.
En route pour Marseille
Après la cérémonie, la flamme olympique entamera son voyage vers la France. Elle embarquera à bord du célèbre voilier « Belem », faisant cap vers Marseille. Ce voyage maritime n'est pas seulement un transfert, mais aussi une odyssée qui rappelle les racines profondément maritimes de la Grèce et de la France, enrichissant le parcours de la flamme de valeurs telles que l'aventure et l'exploration.
La réception de la flamme olympique à Athènes par la France est plus qu'une formalité protocolaire; c'est une célébration du patrimoine olympique et un préambule enthousiasmant à ce que promettent d'être des Jeux spectaculaires à Paris en 2024. Avec la flamme en route pour Marseille, la France se prépare à accueillir le monde dans un esprit de fraternité, de compétition et d'excellence.