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L'ACTUALITÉ DE LA GRANDE ÎLE DEPUIS 1929

La situation du salaire minimum au Yémen en 2024



Au Yémen, l'absence d'un salaire minimum national fixe souligne les défis économiques uniques auxquels le pays est confronté. En 2024, les travailleurs yéménites doivent négocier leurs salaires directement avec leurs employeurs, sans un cadre national qui définit un salaire minimum. Cette situation reflète les difficultés économiques et les dynamiques de travail complexes dans un pays où le contexte politique et social est en constante évolution.


Le seul point de repère en termes de salaire minimum est celui du service civil, fixé à 21 000 rials yéménites par mois depuis 2013. Ce chiffre, qui n'a pas été révisé depuis des années, indique une stagnation dans l'ajustement des salaires face à l'inflation et aux changements économiques.


Cette approche de la fixation des salaires soulève des questions sur la protection des travailleurs et la garantie d'un revenu de subsistance. Elle met en évidence la nécessité d'une réforme qui pourrait offrir une meilleure sécurité économique aux travailleurs yéménites.


Dans un pays aux prises avec des défis économiques et politiques majeurs, l'établissement d'un salaire minimum pourrait être un pas vers une plus grande stabilité économique et une amélioration des conditions de vie des citoyens. Cependant, le contexte actuel rend difficile la mise en œuvre de telles politiques.


L'approche du Yémen en matière de salaire minimum est donc un reflet de ses défis uniques, nécessitant des solutions sur mesure pour améliorer la situation économique et sociale de ses habitants.

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