Suite à l'attaque massive de l'Iran contre Israël le 12 avril, les vingt-sept chefs d'État et de gouvernement de l'Union européenne se sont réunis à Bruxelles pour discuter de mesures de rétorsion contre le régime de Téhéran.
Décision de sanctions
Charles Michel, président du Conseil européen, a annoncé que des sanctions seront imposées à l'Iran, avec un accent particulier sur les producteurs de drones et de missiles de la République islamique. Cependant, après plus de quatre heures de discussions, c'est la seule décision concrète prise lors du sommet.
Appel à la désescalade
Les dirigeants européens ont également appelé l'Iran et ses alliés dans la région à cesser toute attaque, tout en exhortant toutes les parties à faire preuve de retenue pour éviter toute escalade des tensions. Cet appel s'adresse également à Israël, les dirigeants soulignant l'importance d'une désescalade et encourageant Israël à renforcer sa position sans recourir à une réponse militaire massive.
Renforcement des sanctions
Emmanuel Macron, président français, a souligné la nécessité d'élargir les mesures de rétorsion, en proposant des sanctions contre tous ceux impliqués dans la production de missiles et de drones utilisés lors de l'attaque contre Israël. Les dirigeants européens s'engagent à renforcer les sanctions contre l'Iran et ses alliés pour répondre à l'agression perpétrée.
Perspective de désescalade
La réunion des dirigeants européens vise à trouver un équilibre entre la nécessité de sanctions renforcées contre l'Iran et la volonté de prévenir toute escalade militaire dans la région proche-orientale. La priorité est de favoriser la désescalade et de promouvoir la stabilité régionale.
Les dirigeants européens ont pris des mesures fermes en réponse à l'attaque de l'Iran contre Israël, en imposant des sanctions ciblées et en appelant à une désescalade dans la région. Ils s'engagent à renforcer les sanctions contre l'Iran et ses alliés tout en cherchant à éviter une escalade militaire.