La libéralisation de la filière vanille à Madagascar est imminente, suscitant l'attente des opérateurs pour les dispositifs d'application à venir.
Le président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, a confirmé la libéralisation de la filière vanille il y a une semaine. Cette décision est attendue par les opérateurs qui sont dans l'attente des dispositifs d'application qui seront bientôt connus. Les exportateurs attendent également leur agrément pour pouvoir travailler rapidement et sauver ce qui peut encore l'être. Cependant, l'une des questions qui se pose actuellement du côté des observateurs est de savoir si cette libéralisation permettra d'appliquer des prix qui seraient favorables aux producteurs. Le ministre de l'Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, Edgard Razafindravahy, a fixé comme objectif principal de préserver les intérêts des paysans producteurs, mais la mise en place technique de cette libéralisation est encore en cours de développement. Les techniciens de ce département travaillent sur une mise en place technique adaptée pour une relance de la filière vanille, qui a besoin de l'implication de tous pour un redémarrage qui fera du bien à l'économie.
Le ministre de l'Industrialisation, du Commerce et de la Consommation a annoncé la poursuite des dialogues avec les opérateurs de la filière vanille qui ont besoin de cette libéralisation pour redémarrer l'économie. Le MICC travaille actuellement sur une mise en place technique adaptée pour préserver les intérêts des paysans producteurs, qui sont au cœur de cette libéralisation. L'objectif est d'appliquer des prix favorables aux producteurs pour relancer la filière vanille, qui est un secteur clé de l'économie de Madagascar. Cependant, la mise en place de cette libéralisation nécessite l'implication de tous les acteurs de la filière pour qu'elle puisse être mise en œuvre efficacement. Les exportateurs attendent leur agrément pour travailler rapidement et sauver ce qui peut encore l'être, tandis que les observateurs s'interrogent sur l'impact de cette libéralisation sur les prix pour les producteurs. Il est donc important de poursuivre les dialogues entre les opérateurs et le MICC pour mettre en place cette libéralisation de manière adaptée et efficace.
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