
Les rassemblements pour la paix en soutien au peuple palestinien ont mobilisé des milliers de personnes à Paris, Lyon et Strasbourg. La CGT a annoncé la participation de 60 000 manifestants à Paris, tandis que la Préfecture de police a évalué la foule à environ 19 000 personnes.
Appel pour la paix
Ces marches avaient pour objectif principal de promouvoir la paix et d'appeler à un cessez-le-feu immédiat dans le conflit opposant Israël et le Hamas. Les participants se sont rassemblés en signe de solidarité envers le peuple palestinien, exprimant leur souhait de mettre fin à la violence qui sévit dans la région.
La marche à Paris
La manifestation a débuté à la Place de la République à Paris et a attiré l'attention grâce à la présence notable du premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure. Au fil de la progression du cortège vers la Place de la Nation, le nombre de participants a continué de croître. La CGT, aux côtés d'autres syndicats, associations et partis politiques, a revendiqué la participation de 60 000 personnes, tandis que la Préfecture de police a estimé qu'il y en avait 19 000.
Un soutien engagé
Les manifestants ont clairement exprimé leur vif désir de mettre fin au conflit et de favoriser la paix dans la région. Certains d'entre eux arboraient des drapeaux palestiniens, signifiant ainsi leur ferme conviction que le génocide en cours devait prendre fin. La jeunesse a également fait entendre sa voix, exprimant sa volonté que cesse la barbarie.
Diversité des participants
La mobilisation a rassemblé des participants venant de divers horizons, tous unis dans leur objectif commun de mettre un terme aux bombardements et aux souffrances infligées aux civils. La manifestation s'est déroulée dans le respect des règles de sécurité, et bien que la Préfecture de police n'ait pas interdit l'événement, elle a clairement indiqué qu'aucun débordement ne serait toléré.
Une mobilisation qui s'amplifie
Il convient de noter que cette mobilisation n'était pas la première de ce genre, car quelques jours auparavant, un rassemblement autorisé avait déjà eu lieu à Paris, réunissant environ 2 000 participants. La mobilisation a gagné en ampleur à mesure que le conflit perdurait, avec des appels de plus en plus nombreux en faveur d'un cessez-le-feu immédiat à Gaza. Jean-Luc Mélenchon, chef de file des "insoumis," a rejoint ce chœur de voix en qualifiant la situation à Gaza de "massacre épouvantable" en raison des bombardements israéliens.