Vingt individus identifiés comme "collaborateurs" des rebelles ADF ont été appréhendés à la suite d'un massacre perpétré dans un lycée en Ouganda.
La police ougandaise a fait une percée significative dans l'affaire du massacre tragique perpétré dans un lycée, qui a coûté la vie à au moins 42 personnes, principalement des étudiants pris au dépourvu dans leurs dortoirs. Lundi, les autorités ont annoncé l'arrestation de "20 collaborateurs" présumés des rebelles ADF, soupçonnés d'être impliqués dans cette attaque barbare. Les suspects ont été appréhendés dans le cadre d'une opération conjointe des forces de sécurité, qui ont mené des enquêtes approfondies pour identifier les personnes associées aux extrémistes.
Cette avancée dans l'enquête est un signal fort de la détermination des autorités ougandaises à traduire en justice les responsables de cet acte de violence sans merci. Le massacre, imputé à des jihadistes, a secoué la nation et suscité une vague d'indignation et de deuil dans tout le pays. Les familles des victimes et la communauté éducative réclament justice et des mesures de sécurité renforcées pour protéger les établissements scolaires. Alors que l'enquête se poursuit, la population espère que les arrestations permettront de faire la lumière sur les circonstances exactes de cette attaque meurtrière et d'empêcher de tels événements tragiques à l'avenir.
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