Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, rejugé dans le cadre du procès Bygmalion, a réaffirmé avec véhémence son innocence devant la cour d'appel de Paris. Cette audience, démarrée le 8 novembre, s'est concentrée sur le dépassement présumé du plafond légal des dépenses lors de sa campagne présidentielle non aboutie en 2012. Lors de son interrogatoire, Sarkozy a réfuté toute implication dans un système de fausses factures, rejetant catégoriquement toute responsabilité pénale dans cette affaire.
La contestation de toute implication dans la fraude
L'ex-président français a souligné, de manière ferme, sa méconnaissance de toute fraude et son absence de demande ou de bénéfice lié à des pratiques frauduleuses. Sa déclaration au début de son interrogatoire témoigne de sa détermination à prouver son innocence : « Je conteste vigoureusement toute responsabilité pénale, parce que je conteste, et j'espère le démontrer, avoir jamais eu connaissance d'une fraude, avoir jamais demandé une fraude. ou avoir même retenu d'une fraude ».
Un rejet constant d'accusations
Précédemment condamné à un an de prison ferme lors du premier jugement, Nicolas Sarkozy rejette fermement ces accusations. Bien que sa présence au procès ait été sporadique jusqu'ici, son témoignage devant la cour d'appel revêt une importance cruciale. En tant qu'ancien chef d'État, sa déposition et ses arguments constituant un moment déterminant dans cette affaire qui implique également neuf autres personnes ayant fait appel de leur condamnation.
Le poids de l'ancien président
Nicolas Sarkozy, qui a dirigé la France de 2007 à 2012, se trouve au cœur de cette audience depuis le début du procès. Dans cette journée d'interrogatoire complet, l'attention se focalise sur ses déclarations et sa capacité à défendre son innocence face aux accusations de dépassement des dépenses autorisées lors de sa campagne présidentielle de 2012.
Les enjeux de cette journée cruciale
Cette journée devant la cour d'appel constitue un moment charnière dans le procès Bygmalion. Les déclarations de Nicolas Sarkozy auront un impact significatif sur la suite des procédures. Sa détermination à réfuter les accusations et à démontrer son ignorance totale des pratiques frauduleuses est au cœur des débats, influençant l'issue du jugement final de cette affaire.
Une journée d'interrogatoire cruciale pour l'ancien président
Nicolas Sarkozy, confronté à cet interrogatoire de toute une journée, s'engage à fournir des éléments déterminants pour soutenir sa défense. Sa présence continue à clamer son innocence et à contester toute implication dans le dépassement du plafond légal de dépenses lors de sa campagne électorale de 2012.
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