Kokhir Rasulzoda est un homme politique tadjik qui a été le Premier ministre du Tadjikistan depuis le 23 novembre 2013 jusqu'au 29 janvier 2020. Né le 8 octobre 1961 à Douchanbé, la capitale du Tadjikistan, Rasulzoda a occupé plusieurs postes gouvernementaux et politiques avant de devenir Premier ministre.
Avant sa nomination en tant que Premier ministre, Kokhir Rasulzoda a occupé divers postes au sein du gouvernement tadjik, notamment en tant que ministre de l'Économie et du Commerce et vice-Premier ministre. Il est membre du Parti démocratique du Tadjikistan, le parti au pouvoir dirigé par le président Emomali Rahmon.
Pendant son mandat de Premier ministre, Kokhir Rasulzoda a travaillé à mettre en œuvre les politiques du gouvernement tadjik, en mettant l'accent sur le développement économique, la stabilité sociale et la modernisation du pays. Il a également représenté le Tadjikistan lors de réunions internationales et a promu la coopération avec d'autres pays et organisations régionales.
Kokhir Rasulzoda a démissionné de son poste de Premier ministre le 29 janvier 2020, après six ans à la tête du gouvernement tadjik. Il a été remplacé par Qohir Rasulzoda, un autre membre du Parti démocratique du Tadjikistan, qui a été nommé Premier ministre par le président Emomali Rahmon.
Bien que son mandat de Premier ministre ait été relativement discret sur la scène internationale, Kokhir Rasulzoda a joué un rôle important dans la politique intérieure du Tadjikistan, en travaillant à maintenir la stabilité et à promouvoir le développement socio-économique du pays. Son héritage politique est largement lié à sa loyauté envers le président Rahmon et au maintien de la stabilité politique du Tadjikistan.
Après sa démission, Kokhir Rasulzoda est retourné à des fonctions politiques moins visibles, mais il reste une figure importante au sein du Parti démocratique du Tadjikistan et continue de jouer un rôle dans la politique intérieure du pays. Son expérience en tant que Premier ministre lui confère une expertise précieuse dans les affaires gouvernementales et le positionne comme un acteur clé de la scène politique tadjike pour les années à venir.