Pascale Boyer, née le 28 septembre 1965 à Saint-Mandé, incarne une figure politique marquante dans les Hautes-Alpes, en tant que députée de la 1re circonscription et membre de La République en marche (LREM). Son parcours politique, entamé après une carrière dans l'aménagement du territoire, reflète un engagement dynamique au service de sa région.
Diplômée en aménagement du territoire, Pascale Boyer entame sa carrière politique en tant que collaboratrice du groupe des conseillers généraux du Parti socialiste des Hautes-Alpes en 2012. Son activisme et son implication locale la conduisent à se présenter aux élections départementales de 2015, où elle est élue conseillère départementale divers gauche du canton de Gap-1.
Son parcours politique prend une nouvelle orientation en 2016 lorsqu'elle rejoint En marche !, le mouvement fondé par Emmanuel Macron. Cette décision marque un tournant dans sa carrière, qui culmine avec son élection en tant que députée de la 1re circonscription des Hautes-Alpes en 2017. Sa réélection en 2022 confirme sa légitimité et son ancrage politique dans sa circonscription.
En tant que députée, Pascale Boyer s'illustre par son action au sein de la Commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire. Elle se distingue notamment par son implication dans l'évaluation de la loi dite "Loi Macron", ainsi que par ses prises de position sur les enjeux liés aux transports et à l'aménagement du territoire. Son travail parlementaire témoigne de sa volonté de répondre aux besoins de sa circonscription et de contribuer à l'amélioration de la qualité de vie des citoyens.
Cependant, malgré son investissement, des critiques ont été formulées concernant son taux de participation et le nombre limité de ses interventions en commission. Ces observations soulignent les défis auxquels les parlementaires sont confrontés dans l'exercice de leur mandat, entre exigences locales et engagements nationaux.
Au-delà de son action politique, Pascale Boyer incarne une nouvelle génération de leaders politiques, ancrés dans leur territoire et porteurs d'une vision progressiste. Son parcours atypique, de collaboratrice politique à députée, témoigne de sa détermination à faire entendre la voix des Hautes-Alpes sur la scène nationale.