top of page

L'ACTUALITÉ DE LA GRANDE ÎLE DEPUIS 1929

Reconversion du tremplin des JO de Grenoble : un symbole en quête de nouvelle vie


Le tremplin olympique, témoin historique des Jeux d’hiver de 1968, à Saint-Nizier-du-Moucherotte, suscite l'intérêt d'un avocat grenoblois pour un projet de rénovation, transformant cet espace en lieu d'exposition et musée permanent.


Un site historique érodé par le temps

Délaissé depuis trois décennies, l'emblématique tremplin olympique affiche des signes de détérioration. La nature a envahi les structures de béton, transformant l'édifice en un vaisseau abandonné, offrant un contraste saisissant avec son passé glorieux.


Une renommée internationale, une reconversion délicate

Autrefois encensé par les médias et la sphère sportive pour sa splendeur, le tremplin de Saint-Nizier-du-Moucherotte est désormais laissé pour compte, n'ayant pas trouvé de seconde vie. Trop imposant et complexe, sa reconversion s'avère être un défi économique et sportif de taille. Si des initiatives ont été envisagées, telles qu'un parc d'activités ludiques, un lieu d'exposition, ou même un restaurant d'altitude, le coût croissant des réparations et le temps écoulé ont découragé les porteurs de projets.


Un héritage olympique en quête de nouveau souffle

Depuis l'extinction de sa vocation sportive en 1990, le tremplin, malgré quelques événements sportifs et initiatives locales, demeure inutilisé. Sa transformation reste un défi financier majeur, s'accumulant au fil du temps, soulevant des interrogations quant à sa pérennité.


Un débat ravivé par les prétentions aux JO d'hiver 2030

Alors que les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur aspirent à accueillir les Jeux d'hiver 2030 avec des installations déjà existantes, la question des "friches" olympiques, tel ce tremplin historique, est de nouveau posée. Malgré ces défis, l'idée d'une rénovation demeure un débat majeur dans le contexte actuel de la candidature pour les prochains JO.

11 vues0 commentaire
bottom of page