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Stéphane Le Rudulier, sénateur Les Républicains (LR) des Bouches-du-Rhône et ancien maire de Rognac, une ville de 12 000 habitants, se démarque ces derniers temps par ses actions médiatiques. Des propositions controversées telles que la dissolution de La France insoumise, la pénalisation de l’antisionisme et la limitation du droit de grève dans les raffineries ont contribué à sa notoriété.
Un élu ambitieux et changeant
Au sein des Républicains, ce politicien charmeur de 49 ans, au look décontracté, a souvent changé de camp politique. Ancien porte-parole du député Eric Ciotti, il s'est rallié ensuite au sénateur Bruno Retailleau pour l'élection à la tête des Républicains. Sa présence lors de certains événements politiques, comme celle de Gérald Darmanin plutôt que celle d'Eric Ciotti, a suscité des réactions surprises au sein de son parti.
Des controverses récurrentes
Des polémiques ont émaillé le parcours de Stéphane Le Rudulier. En 2022, des révélations sur le plagiat dans sa thèse en sciences de l'information et de la communication ont entaché sa réputation. Récemment, des questions sur ses actions avec l'argent public et ses liens continus avec la mairie de Rognac, où il est resté influent, ont émergé, suscitant des interrogations supplémentaires sur ses pratiques politiques.
Un parcours politique semé d'interrogations
Stéphane Le Rudulier, par ses prises de position audacieuses et ses changements de cap politiques, a suscité un débat au sein de son parti. Malgré ses ambitions et son charisme, les controverses autour de son passé académique et de ses agissements dans la sphère publique continuent de soulever des questions quant à sa crédibilité et à son intégrité politique.