Les récentes déclarations de Vladimir Poutine sur la situation en Ukraine et l'utilisation d'armes à sous-munitions mettent en évidence les enjeux géopolitiques actuels.
Plusieurs centaines de combattants « expérimentés » de Wagner sont arrivés en Centrafrique pour « assurer la sécurité » en prévision du référendum du 30 juillet, selon la Communauté des officiers pour la sécurité internationale (COSI). Cette situation soulève des inquiétudes concernant la stabilité régionale.
L'État russe a pris temporairement le contrôle d'actifs en Russie appartenant aux groupes français Danone et danois Carlsberg, suite à leur annonce de quitter le marché russe après l'offensive en Ukraine. Cette décision marque une nouvelle étape dans les tensions économiques entre la Russie et les entreprises étrangères.
La situation en Ukraine reste tendue, avec des affirmations contradictoires concernant les avancées militaires. L'Ukraine déclare progresser près de Bakhmout, tandis que la Russie affirme repousser les attaques de drones en Crimée annexée. Dans ce contexte, le président russe Vladimir Poutine a prévenu que son armée dispose d'une « bonne réserve » d'armes à sous-munitions, prête à être utilisée en cas d'attaque de ce type d'armement fourni par les États-Unis à l'Ukraine. Ces développements exacerbent les tensions géopolitiques dans la région.