Le ministre de la Justice a envoyé au procureur général une liste de noms, y compris d’anciens présidents et de nombreux anciens ministres.
La procédure a été engagée « en raison d’allégations de corruption, d’enrichissement illicite, de blanchiment d’argent, de falsification et d’altération de documents, de détournement de fonds publics et de collusion ». Depuis son entrée en fonction, le gouvernement militaire de Mamadi Doumbuya mène « une politique de moralisation de la vie publique » et a fait de la lutte contre la corruption l’une de ses bannières.
