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L'ACTUALITÉ DE LA GRANDE ÎLE DEPUIS 1929

Un scientifique du Giec souligne l'urgence d'impliquer les États d'Afrique dans l'action climatique

Le rapport récent du Giec publié le 20 mars ne traite pas directement de l'Afrique, mais souligne l'importance d'agir en faveur des pays les plus vulnérables au changement climatique, à la fois pour les pays africains et les pays riches et pollueurs.


Bien que tous les pays africains n'aient pas envoyé de délégué pour approuver la synthèse du dernier rapport du Giec à Interlaken, le scientifique béninois Edmond Totin souligne que la sensibilisation des gouvernants africains progresse et que l'urgence est présente. Selon lui, la présence des délégués des pays africains dans la salle pour approuver le rapport représente la première étape de la sensibilisation. Bien que l'Arabie saoudite, la Chine et l'Inde aient tenté de s'opposer à la mention de l'expression « flux financiers » dans la synthèse, en vain, le rapport reconnaît l'urgence de mécanismes financiers plus fluides et plus accessibles pour les pays vulnérables. Enfin, le rapport souligne l'importance de la dimension humaine du changement climatique et suggère une recherche prometteuse sur la façon de mieux impliquer les communautés locales africaines.


Selon Edmond Totin, scientifique béninois et auteur du dernier rapport du Giec, la sensibilisation des gouvernants africains à l'urgence climatique progresse, bien que tous les pays africains n'aient pas envoyé de délégué à Interlaken pour approuver la synthèse du rapport. Bien que certains pays, tels que l'Arabie saoudite, la Chine et l'Inde, aient tenté de s'opposer à la mention de l'expression « flux financiers » dans la synthèse, le rapport souligne néanmoins la nécessité d'un soutien financier aux pays vulnérables. Selon Totin, le rapport insiste également sur la dimension humaine du changement climatique et met en avant l'importance de mieux impliquer les communautés locales africaines dans la recherche de solutions. En fin de compte, la présence des délégués des pays africains dans la salle pour approuver le rapport représente une première étape encourageante dans la sensibilisation à l'urgence climatique en Afrique.

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